L’Espérance prend la tête, le Raja se relance à Kinshasa

Pour le compte de la 2e journée du groupe D de la Ligue des champions d’Afrique, l'Espérance de Tunis a enchaîné sa deuxième victoire de rang face à la JS Kabylie (1-0) et prend seul la tête de sa poule. Dans le match des vaincus, le Raja Casablanca a réussi un excellent résultat à Kinshasa face au Vita Club (0-1).

L’Espérance assure l’essentiel

Dans cette compétition ultra-serrée, où une victoire permet de prendre de l’avance au classement, en enchaîner deux permet de prendre seul la tête de son groupe. Déjà vainqueur au Maroc face au Raja Casablanca (0-2) il y’a une semaine, l’Espérance de Tunis a récidivé ce vendredi soir contre la JS Kabylie (1-0).

Dominatrice, la formation de Mouine Chaabani s’est logiquement imposée contre les kabyles et le score aurait pu être plus large si le portier Benbot n’avait pas brillé dans le but de la JSK. Décisif à plusieurs reprises, il s’est finalement incliné sur le penalty d’Anis Badri (73e, 1-0).

Avec cet enchaînement favorable de résultats en Ligue des Champions, l’EST réalise sa meilleure série en compétition avec son 17ème matchs sans défaite, et la tête du groupe pour bonifier sa soirée. Mission accomplie et objectif atteint pour les sangs et or. La JS Kabylie, de son côté, peut nourrir quelques regrets. Incapable de marquer malgré plusieurs situations intéressantes, l’équipe d’Hubert Velud a rechuté juste après son premier succès face à Vita Club à Tizi-Ouezou.

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Le Raja se rachète et se relance

Le Raja Casablanca a relevé la tête après sa défaite à domicile lors de la première journée face à l’Espérance (0-2). Victorieux ce vendredi au stade des Martyrs face à l’AS Vita Club, les verts se relancent dans ce groupe et reviennent à hauteur de la JS Kabylie, grâce à un but de Soufiane Rahimi à la (48e, 0-1). Ce précieux succès permet aux Rajaouis d’éviter le pire d’un déplacement annoncé très compliqué, face à un club congolais qui n’a pas perdu sur sa pelouse depuis 22 matchs. Les hommes de Jemal Sellami, solidaires et offensifs, ont fait le « job » et peuvent déjà se projeter sur la suite de la compétition.